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Évolution de l’efficacité énergétique au Canada,
de 1990 à 2009

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Chapitre 3 : Le secteur résidentiel

Vue d’ensemble – La consommation d’énergie et les émissions de GES du secteur résidentiel

En 2009, le chauffage des pièces et de l’eau représentait 80 p. 100 de la consommation totale d’énergie du secteur résidentiel du Canada.

En 2009, les Canadiens ont dépensé 26,8 milliards de dollars pour combler les besoins énergétiques des ménages. La consommation totale d’énergie des ménages représentait 17 p. 100 de la consommation totale d’énergie (figure 3.1) alors que les émissions totales de GES des ménages représentaient 15 p. 100 de l’ensemble des émissions de GES liées à la consommation d’énergie secondaire au Canada (figure 3.2). Plus particulièrement, la consommation d’énergie du secteur résidentiel s’élevait à 1 422,3 PJ et les émissions de GES à 67,9 Mt.

Figure 3.1 – Consommation d’énergie secondaire par secteur, 2009

Figure 3.1 – Consommation d’énergie secondaire par secteur, 2009.

Figure 3.2 – Émissions de GES par secteur, 2009

Figure 3.2 – Émissions de GES par secteur, 2009.

Le gaz naturel, l’électricité, le bois, le mazout et le propane ont été les sources d’énergie utilisées. Comme on peut le constater dans la figure 3.3, un ménage moyen utilise ces formes d’énergie à diverses fins. En raison de la rigueur du climat canadien, en 2009, 63 p. 100 de la consommation d’énergie du secteur résidentiel était attribuable au chauffage des pièces et 17 p. 100 au chauffage de l’eau. Les appareils ménagers représentaient également une grande part de la consommation d’énergie des ménages canadiens, suivi de l’éclairage et de la climatisation.

Figure 3.3 – Répartition de la consommation d’énergie dans le secteur résidentiel selon l’utilisation finale, 2009

Figure 3.3 – Répartition de la consommation d’énergie dans le secteur résidentiel selon l’utilisation finale, 2009.

Évolution – La consommation d’énergie et les émissions de GES du secteur résidentiel

Une croissance de la population et une diminution du nombre de personnes par ménage ont entraîné une hausse de 36 p. 100 du nombre de ménages, ce qui a suscité une augmentation de 11 p. 100 de la consommation d’énergie dans le secteur résidentiel de 1990 à 2009.

Depuis 1990, le Canada compte 3,5 millions de ménages de plus, ce qui est supérieur au nombre total de ménages au Québec.

Entre 1990 et 2009, on a observé une augmentation de la population de 22 p. 100 (6 millions de personnes) et du nombre de ménages de 36 p. 100 (3,5 millions). L’augmentation du nombre de ménages, conjuguée à une surface habitable moyenne accrue et du taux de pénétration des appareils ménagers, a contribué à la hausse de 11 p. 100, ou de 140,2 PJ, de la consommation d’énergie du secteur résidentiel, laquelle est passée de 1 282,1 à 1 422,3 PJ. Comme les propriétaires se sont tournés graduellement vers des sources d’énergie plus propres, les émissions de GES connexes ont diminué de 0,8 p. 100, passant de 68,4 à 67,9 Mt au cours de la même période.

La combinaison des sources d’énergie utilisées dans le secteur résidentiel a évolué légèrement au cours de la période à l’étude. En particulier, le recours au gaz naturel et à l’électricité a pris de l’ampleur, alors que l’utilisation du mazout a diminué (figure 3.4). Ensemble, le gaz naturel et l’électricité représentaient 87 p. 100 de la consommation totale d’énergie du secteur résidentiel en 2009, comparativement à 78 p. 100 en 1990, alors que la part du mazout est passée de 15 à 4 p. 100 au cours de la période. Cette hausse de la part du gaz naturel et de l’électricité résultait en grande partie d’une plus grande disponibilité du gaz naturel et de son prix inférieur à celui du mazout. Elle découlait également en partie du rendement énergétique relativement plus élevé des chaudières au gaz et à l’électricité.

Figure 3.4 – Consommation d’énergie dans le secteur résidentiel selon la source d’énergie et le nombre de ménages, 1990 et 2009

Figure 3.4 – Consommation d’énergie dans le secteur résidentiel selon la source d’énergie et le nombre de ménages, 1990 et 2009.

Les Canadiens ont de plus grandes maisons, mais y vivent moins nombreux.

Les choix que font les Canadiens en ce qui a trait à leur surface habitable ont également contribué à une augmentation de la consommation d’énergie. En 2009, la surface habitable moyenne était de 11 p. 100 plus grande qu’en 1990. Plus particulièrement, la surface habitable moyenne s’élevait à 116 mètres carrés () en 1990 comparativement à 129 en 2009 (figure 3.5). Au cours de la même période, le nombre de personnes par ménage a diminué, passant de 2,8 en 1990 à 2,5 en 2009. Cette tendance, s’ajoutant à la croissance de la population, s’est traduite par la construction d’un plus grand nombre de logements et, par conséquent, par une hausse de la consommation d’énergie.

Depuis 1990, les Canadiens utilisent davantage d’appareils qui consomment de l’énergie. De plus, ils sont plus nombreux à climatiser leurs habitations pendant l’été. Ces choix ont entraîné une hausse de la consommation d’énergie dans le secteur résidentiel. L’incidence de ces changements et les choix des Canadiens font l’objet d’une analyse plus détaillée dans la section suivante, dans laquelle chaque utilisation finale est examinée.

Figure 3.5 – Indicateurs énergétiques du secteur résidentiel, 1990 et 2009

Figure 3.5 – Indicateurs énergétiques du secteur résidentiel, 1990 et 2009.

Évolution – La consommation d’énergie pour le chauffage des pièces dans le secteur résidentiel

Malgré une diminution de 24 p. 100 de l’intensité énergétique (GJ/) pour le chauffage des pièces, la consommation totale d’énergie a augmenté de 13 p. 100 entre 1990 et 2009.

La quantité d’énergie utilisée par le secteur résidentiel pour chauffer chaque mètre carré de surface habitable a diminué considérablement entre 1990 et 2009. Malgré le nombre de degrés-jours de chauffage plus élevé en 2009 qu’en 1990, l’intensité énergétique pour le chauffage des pièces a connu une diminution, passant de 0,66 gigajoule par mètre carré (GJ/) à 0,50 GJ/ (figure 3.6), cela est principalement attribuable à des gains en efficacité énergétique.

Figure 3.6 – Intensité énergétique du chauffage des pièces et indice de degrés-jours de chauffage, 1990-2009

Figure 3.6 – Intensité énergétique du chauffage des pièces et indice de degrés-jours de chauffage, 1990-2009.

Ces gains ont été réalisés dans une large mesure, grâce au remplacement des systèmes à faible efficacité par des systèmes réglementés à moyenne et à haute efficacité. De 1990 à 2009, la part des chaudières au gaz à moyenne et à haute efficacité installées dans les maisons canadiennes est passée de 10 à 86 p. 100 du marché des systèmes de chauffage au gaz. En 1990, peu de systèmes au mazout offraient un rendement moyen alors qu’en 2009, ils avaient pratiquement tous une efficacité moyenne.

Bien que l’intensité énergétique du chauffage des pièces ait diminué de 24 p. 100, cela n’a pas suffi pour compenser la hausse de 36 p. 100 du nombre de ménages. De plus, la grandeur moyenne des maisons a augmenté au Canada en 2009 par rapport à 1990. Par conséquent, l’énergie requise pour chauffer tous les logements au Canada a augmenté de 13 p. 100, passant de 792,3 PJ en 1990 à 893,2 PJ en 2009, ce qui représentait 63 p. 100 de la consommation totale d’énergie dans le secteur résidetiel.

Évolution – La consommation d’énergie pour le chauffage de l’eau dans le secteur résidentiel

Les ménages ont moins besoin d’énergie pour chauffer l’eau, en raison du taux de pénétration accru des chauffe-eau au gaz naturel neufs plus éconergétiques et d’une diminution de la taille des ménages.

Un grand nombre de Canadiens a délaissé les chauffe-eau au mazout en faveur d’appareils au gaz naturel lesquels sont, en moyenne, plus éconergétiques (figure 3.7). De plus, en vertu des normes minimales actuelles de rendement énergétique, les nouveaux chauffe-eau doivent consommer moins d’énergie que les anciens modèles. Ainsi, à mesure que les anciens modèles sont remplacés par des nouveaux, des gains en efficacité énergétique sont réalisés. Ces changements, combinés à une réduction de la taille des ménages, ont entraîné une diminution de 26 p. 100 de la consommation d’énergie par ménage pour le chauffage de l’eau (passant de 24,7 GJ par ménage en 1990 à 18,3 GJ en 2009).

Figure 3.7 – Consommation d’énergie pour le chauffage de l’eau selon le type de source d’énergie, 1990 et 2009

Figure 3.7 – Consommation d’énergie pour le chauffage de l’eau selon le type de source d’énergie, 1990 et 2009.

En dépit d’une diminution de la consommation d’énergie par ménage pour chauffer l’eau, le nombre total de ménages a augmenté à un rythme plus rapide que les améliorations de l’efficacité énergétique des appareils neufs. Il en a résulté une hausse globale de 0,5 p. 100 de la consommation d’énergie pour le chauffage de l’eau dans le secteur résidentiel, laquelle est passée de 244,6 à 245,8 PJ. En 2009, le chauffage de l’eau représentait 17 p. 100 de la demande d’énergie du secteur résidentiel.

Évolution – La consommation d’énergie des appareils ménagers du secteur résidentiel

Le nombre accru de petits appareils annule les avantages découlant des gains en efficacité énergétique des gros appareils ménagers.

Entre 1990 et 2009, le nombre de gros appareils ménagers utilisés par les ménages canadiens a augmenté de 49 p. 100 (figure 3.8). Toutefois, la consommation totale d’énergie de ces gros appareils ménagers a diminué de 16 p. 100 au cours de la même période en raison d’améliorations à l’efficacité énergétique. En fait, la consommation d’énergie unitaire moyenne de tous les gros appareils ménagers a sensiblement diminué de 1990 à 2009.

Figure 3.8 – Consommation d’énergie dans le secteur résidentiel et indice des stocks d’appareils ménagers selon le type d’appareil, 1990 et 2009

Figure 3.8 – Consommation d’énergie dans le secteur résidentiel et indice des stocks d’appareils ménagers selon le type d’appareil, 1990 et 2009.

C’est au chapitre de la consommation d’énergie unitaire des laveuses que l’on observe la plus forte réduction en pourcentage (figure 3.9); elle est passée de 134 kilowattheures (kWh) par année en 1990 à 37 kWh par année en 2009, soit une baisse de 73 p. 1004. En outre, en 1990, la consommation d’énergie annuelle d’un réfrigérateur neuf s’élevait en moyenne à 956 kWh comparativement à 430 kWh en 2009, soit une réduction de 55 p. 100. Ces améliorations de l’efficacité énergétique sont principalement attribuables à l’adoption de normes minimales de rendement énergétique dans les années 90.

La consommation d’énergie de l’ensemble des petits appareils ménagers a plus que doublé entre 1990 et 2009. Cette hausse de 46,5 PJ est l’équivalent de l’énergie requise pour éclairer toutes les maisons du Canada au milieu des années 80.

Figure 3.9 – Consommation d’énergie unitaire des gros appareils électriques neufs, 1990 et 2009

Figure 3.9 – Consommation d’énergie unitaire des gros appareils électriques neufs, 1990 et 2009.

Contrairement à la tendance observée pour les gros appareils ménagers, la consommation d’énergie des petits appareils ménagers, tels que les téléviseurs, les magnétoscopes à cassettes, les lecteurs DVD, les chaînes stéréophoniques et les ordinateurs personnels, a plus que doublé (+158 p. 100). Cette hausse l’a largement emporté sur la réduction de la consommation d’énergie des gros appareils ménagers. Signalons, comme exemple de la croissance rapide des petits appareils, la pénétration accrue des ordinateurs personnels. En 1990, les ordinateurs étaient présents dans moins de un foyer sur six alors qu’en 2009, ils étaient présents dans plus de quatre foyers sur cinq au Canada. De plus, la pénétration rapide des téléviseurs numériques, des lecteurs DVD et des boîtiers décodeurs numériques a également contribué à cette augmentation.

Évolution – La consommation d’énergie pour la climatisation des pièces

Un plus grand nombre de Canadiens vivaient dans des habitations plus grandes et climatisées.

La surface de plancher occupée et climatisée est passée de 267 millions de en 1990 à 757 millions de en 2009, soit une hausse de 23 p. 100 en 1990 à 44 p. 100 en 2009. Par conséquent, même si l’été de 2009 n’était pas aussi chaud qu’en 1990, l’énergie requise pour climatiser les foyers canadiens a augmenté de 68 p. 100 (figure 3.10), passant de 10,4 à 17,4 PJ au cours de cette période.

Figure 3.10 – Stock des appareils de climatisation et consommation d’énergie, 1990-2009

Figure 3.10 – Stock des appareils de climatisation et consommation d’énergie, 1990-2009.

La hausse de la consommation d’énergie pour climatiser les pièces aurait été plus élevée sans l’amélioration de l’efficacité énergétique des climatiseurs individuels et centraux. Comparativement à 1990, on observe en 2009 une amélioration du rendement énergétique des climatiseurs individuels et centraux de 48 et 26 p. 100, respectivement.

Évolution – La consommation d’énergie pour l’éclairage

La part de marché des appareils d’éclairage éconergétiques s’est grandement accrue entre 1990 et 2009.

En dépit d’une baisse de la consommation d’énergie par ménage pour les appareils d’éclairage, l’énergie requise pour éclairer l’ensemble des foyers canadiens a augmenté de 18 p. 100, passant de 51,4 à 60,6 PJ (figure 3.11). Cela est entièrement attribuable à la hausse de 36 p. 100 du nombre de ménages, alors que l’énergie requise pour éclairer chaque foyer canadien a diminué de 10 p. 100, passant de 5,2 à 4,7 GJ.

Figure 3.11 – Consommation d’énergie par ménage pour l’éclairage et consommation d’énergie totale pour l’éclairage, 1990-2009

Figure 3.11 – Consommation d’énergie par ménage pour l’éclairage et consommation d’énergie totale pour l’éclairage, 1990-2009.

Une partie de la baisse de la consommation d’énergie par ménage pour l’éclairage peut être attribuable à l’utilisation accrue des lampes fluorescentes compactes (LFC), souvent appelées ampoules fluorescentes compactes (figure 3.12), qui requièrent moins d’énergie pour produire un certain niveau d’éclairage. Avant 2000, on trouvait peu de LFC dans le secteur résidentiel; toutefois, en 2009, les LFC représentaient environ 24 p. 100 des ampoules utilisées.

Figure 3.12 – Nombre d’ampoules par ménage selon le type d’ampoule, 1990 et 2009

Figure 3.12 – Nombre d’ampoules par ménage selon le type d’ampoule, 1990 et 2009.

L’intensité énergétique et l’efficacité énergétique du secteur résidentiel

L’intensité énergétique

Le ménage moyen a réduit sa consommation d’énergie de 18 p. 100 depuis 1990.

L’intensité énergétique du secteur résidentiel est habituellement exprimée comme la consommation d’énergie par ménage. Elle peut également être exprimée comme l’énergie consommée par mètre carré de surface habitable. L’intensité énergétique par ménage a chuté de 18 p. 100, passant de 129,6 GJ en 1990 à 106 GJ en 2009 (figure 3.13), en dépit d’une hausse du nombre d’appareils ménagers utilisés par le ménage moyen, de la surface d’habitation et de l’utilisation de climatiseurs. La consommation d’énergie par mètre carré a diminué de 25 p. 100, pour passer de 1,06 à 0,79 GJ.

Figure 3.13 – Intensité énergétique du secteur résidentiel par ménage et surface de plancher, 1990-2009

Figure 3.13 – Intensité énergétique du secteur résidentiel par ménage et surface de plancher, 1990-2009.

L’efficacité énergétique

En 2009, l’amélioration de l’efficacité énergétique s’est traduite par des économies d’énergie de 8,9 milliards de dollars dans le secteur résidentiel.

L’amélioration de l’efficacité énergétique du secteur résidentiel a entraîné des économies considérables entre 1990 et 2009. Cette amélioration comprend des changements apportés à l’enveloppe thermique des habitations (isolation, fenêtres, etc.) et au rendement énergétique des appareils consommateurs d’énergie dans la maison, tels que les chaudières, les appareils ménagers, les appareils d’éclairage et les climatiseurs.

L’efficacité énergétique dans le secteur résidentiel s’est améliorée de 37 p. 100 entre 1990 et 2009, ce qui a permis aux Canadiens, en 2009, de réduire leur facture et leur consommation d’énergie de 8,9 milliards de dollars et de 470,6 PJ, respectivement (figure 3.14).

Figure 3.14 – Consommation d’énergie dans le secteur résidentiel, tenant compte ou non de l’amélioration de l’efficacité énergétique, 1990-2009

Figure 3.14 – Consommation d’énergie dans le secteur résidentiel, tenant compte ou non de l’amélioration de l’efficacité énergétique, 1990-2009.

Cette économie d’énergie résultant de l’efficacité énergétique s’est traduite en 2009 par des économies moyennes de 660 $ par ménage canadien.

La figure 3.15 illustre l’incidence de divers facteurs sur le changement de la consommation d’énergie dans le secteur résidentiel entre 1990 et 2009. Les effets de ces différents facteurs sont les suivants :

  • L’effet de l’activité — L’effet de l’activité, mesuré en combinant le nombre de ménages et la surface de plancher, a entraîné une hausse de la consommation d’énergie de 38 p. 100 (492,3 PJ) et des émissions de GES de 23,5 Mt. La croissance de l’activité est attribuable à une hausse de 48 p. 100 de la surface de plancher et de 36 p. 100 du nombre de ménages.

  • L’effet de la structure — La hausse de la part relative des maisons individuelles a entraîné une hausse de la consommation d’énergie de 10 PJ et des émissions de GES de 0,5 Mt.

  • L’effet des conditions météorologiques — En 2009, l’hiver a été plus froid et l’été a été plus frais qu’en 1990. Le résultat net a été une hausse globale de la demande d’énergie de 33 PJ et des émissions de GES de 1,6 Mt.

  • L’effet du niveau de service — Le taux de pénétration accru des appareils ménagers et l’augmentation de la surface de plancher climatisée ont conduit à une hausse de 75,5 PJ de la consommation d’énergie et de 3,6 Mt des émissions de GES.

  • L’effet de l’efficacité énergétique — Les améliorations apportées à l’enveloppe thermique des maisons et à l’efficacité des appareils ménagers ainsi que des appareils de chauffage des pièces et de l’eau ont entraîné une hausse de l’efficacité énergétique globale dans le secteur résidentiel. Cela a permis de réduire la consommation d’énergie de 470,6 PJ et les émissions de GES de 22,4 Mt.

Figure 3.15 – Incidence de l’activité, de la structure, du niveau de service, des conditions météorologiques et de l’efficacité énergétique sur la variation de la consommation d’énergie dans le secteur résidentiel, 1990-2009

Figure 3.15 – Incidence de l’activité, de la structure, du niveau de service, des conditions météorologiques et de l’efficacité énergétique sur la variation de la consommation d’énergie dans le secteur résidentiel, 1990-2009.

4 Cela exclut les besoins d’énergie pour chauffer l’eau.

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